Fin du voyérisme paisible, première partie


 

g) Jean-Pierre Voyer à Adreba Solneman, le 8 janvier 1992


 

Paris 8 janvier 1992


 

Monsieur,

J'avais parfaitement reçu le premier envoi de votre lettre du 13 octobre. 

Avant de tirer toutes les conclusions qui s'imposent, laissez-moi, je vous prie, la liberté de ne pas répondre. C'est, il me semble, la moindre des libertés. 

Sinon, j'en conclurai, moi, que vous êtes un oppresseur. 

J-P Voyer


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