Paris 8 janvier 1992
Monsieur,
J'avais parfaitement reçu le premier envoi de votre lettre du 13 octobre.
Avant de tirer toutes les conclusions qui s'imposent, laissez-moi, je vous prie, la liberté de ne pas répondre. C'est, il me semble, la moindre des libertés.
Sinon, j'en conclurai, moi, que vous êtes un oppresseur.
J-P Voyer
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