Re: L'Argentine en juin 2002 (Lisa Garrigues)


 

Bonjour, je suis la personne qui travail avec l'asemblée de Colegiales en Buenos Aires et c'est moi qui a ecris le texte sur la peur qui se trouve dans ce forum. J'espere que vous les lecteurs pouvez suporter mon frances primitif.

Je ne suis pas d'accord avec l'idée que parler de la peur veut dire que les assemblées se trouvent moins fortes..au contraire, une des choses plus admirables des assemblées que j'ai vu depuis qu'elles ont commencé en Janvier est leur capacité de compartir les sentiments quand elles arrivent, et continuar "la lucha" malgré et avec ces sentiments. La peure, le courage, , la tristesse, la colere, l'entusiasme, on a toujours eu tous ces sentiments dans les assemblées, et on a parlé de tous.

Ce n'est pas question de que "maintenant" la peur est arrivée, ni que les assemblées ávant se croiyant "invencibles."

L´autre moment que je me souviens qu´on a parler beaucoup de la peur etait au commencement des assemblées en Janvier, quand beaucoup de personnes se trouvaient dans les rues qui avant n'osaient pas sortir a cause des cicatrices de la repression des années militares. La repression et les "amenazas" aux assemblees(j'oublie le mot frances) ont toujours existé. Comme j'ai dit dans mon email a Colegiales, avoir peur o parler de la peur ne signifique pas une absence de courage...

 

En realitée, selon ce que je vois, l'effect des evenements de Avellaneda a été une unification et renaissance dans les asemblées..personnes qui avaient quité les assemblées ont revenues, au lieu d'avoir quarante personnes dans l' assemblée de Colegiales, maintenant on a soizante-dix, et je vois une maturitée dans la maniere de "etre ensemble" qui n'existait pas avant. Pour moi, les trois manifestationes qu'on a fais apres les morts d'Avellanada n'etaient pas "faibles"...15,000 le lendemain et 50,000 dans les deux manifestations la semaine prochaine. Non, ce n'est pas la manifestation enorme et spontaneé de Decembre 19, mais avec le temps qui passe le travail qu'il faut faire devient different, un travail qui peut "incluir" les manifestaciones dans la rue mais aussi exigent otres choses.


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